Qu’il s’agisse du retour de Donald Trump à la Maison Blanche, d’une politique monétaire à nouveau plus expansive ou tout simplement d’un rattrapage technique cyclique, les catalyseurs ne manquent pas pour annoncer l’arrivée des petites et moyennes sociétés américaines sur le devant de la scène. En effet, le soutien annoncé des Républicains à l’industrie domestique, ainsi que la baisse prévue des taux d’intérêt au cours des deux prochaines années, auront certainement une profonde influence sur l’économie des Etats-Unis. Et c’est le segment des petites et moyennes capitalisations qui devrait en profiter en premier lieu.
Les valeurs secondaires: le meilleur moyen de bénéficier des changements qui s’annoncent
Si ces changements vont impacter l’économie dans son ensemble, ils devraient profiter de façon plus marquée aux petites et moyennes entreprises, qui sont non seulement plus orientées sur le marché domestique mais également plus sensibles à l’évolution des taux d’intérêt.
De fait, le marché s’attend à un recul marqué et prolongé des taux directeurs US, comme on peut le constater sur le graphique ci-dessous.
Ce recul du loyer de l’argent devrait profiter largement aux SMid Caps, qui sont généralement plus endettées et donc plus sensibles à l’évolution des taux.
Un autre facteur de soutien est plus technique: les petites capitalisations sont historiquement très bon marché par rapport aux grandes (voir graphique ci-dessous) et l’on peut donc espérer une diminution, voire une disparation, de cette décote.
Ce rattrapage est d’autant plus attendu que sur le long terme, les Small Caps ont surperformé les grandes capitalisations. Ainsi, après 10 ans d’hégémonie des leaders de la cote (voir le graphique ci-dessous), nous nous trouvons peut-être au début d’un nouveau cycle favorable aux valeurs secondaires, d’autant plus qu’en 2025 et 2026, les bénéfices des petites capitalisations devraient rebondir plus fortement que ceux des grands titres, comme le montrent les prévisions de croissance dans l’histogramme ci-après.
Un univers propice à la génération d’alpha
S’il est extrêmement difficile de faire la différence sur les grands titres, dont les moindres faits et gestes sont suivis par des nuées d’analystes, les petites et moyennes capitalisations constituent à l’inverse une véritable mine d’or pour une gestion active. En effet, il s’agit d’un univers d’investissement très large et souvent mal couvert par les équipes de recherche des banques d’investissement et des brokers. Cela signifie que ce marché est moins efficient, avec des aberrations de cours qui permettent aux gérants prêts à sortir des sentiers battus de générer de l’alpha en découvrant des opportunités inexploitées.
Concrètement, cela se traduit pour les petites valeurs par une plus grande dispersion en termes de performance, comme on peut le voir ci-dessous.
Ainsi, les meilleures petites valeurs ont obtenu une performance annuelle moyenne plus de deux fois supérieure aux grandes capitalisations (+129.3% pour le 1er décile contre +57.5%).
Naturellement, cette plus grande dispersion des résultats implique aussi que les risques de perte sont plus élevés pour les valeurs secondaires. Ainsi, sur une période de près de 10 ans (de mai 2015 à octobre 2024, soit la durée de vie du fonds Prosper Stars & Stripes), la volatilité de l’Indice Russell 2000 a été de 20.7% contre 15.5% pour l’indice S&P500, avec une perte maximale de -32.2% contre -23.9%.
Résoudre la quadrature du cercle avec Prosper Stars & Stripes
Mais l’investisseur n’est pas obligé de choisir entre une performance élevée et une volatilité faible, il peut avoir les deux ! En effet, la stratégie active Long/Short mise en œuvre dans Prosper Stars & Stripes permet de bénéficier des hausses du marché, tout en étant relativement protégé contre les baisses. Ainsi, sur la même période, le fonds a dégagé une performance cumulée de +99.5% presque équivalente à celle du Russell 2000 (+103.7%), mais avec une volatilité deux fois inférieure (10.2% contre 20.7%), bien moindre également que celle du S&P500. Il en résulte un ratio de Sharpe non seulement bien supérieur à l’indice Russell 2000 mais également au S&P 500 (0.98 pour la stratégie contre 0.54 et 0.88 respectivement pour les indices).
Il s’agit donc d’une solution non seulement extrêmement efficace mais également très «confortable» pour tirer parti du potentiel des petites et moyennes capitalisations américaines, tout en résolvant le sempiternel problème du timing. En effet, en diminuant les drawdowns propres à ce marché, Prosper Stars & Stripes permet d’y investir avec une moindre crainte que ce ne soit trop tôt ou trop tard.
Ces résultats sont d’autant plus convaincants qu’ils se vérifient depuis début 2010 (naissance de la stratégie aux USA) avec un track-record à long terme qui montre une capacité de génération de performance extrêmement compétitive par rapport à des solutions investies dans les grandes capitalisations, alors même que le segment des petites et moyennes capitalisations affiche une sous-performance relative notoire depuis de nombreuses années
Par ces caractéristiques, le fonds Prosper Stars & Stripes ne devrait pas être seulement considéré comme une stratégie alternative mais aussi comme une stratégie défensive en actions américaines, moins volatile que les indices de référence. C’est d’autant plus vrai que le portefeuille est très diversifié et que ces résultats sont le fruit de nombreux choix d’investissements et non d’un petit nombre de titres. En résumé, le fonds permet d’améliorer efficacement le ratio de Sharpe de la poche Equity US.
Une stratégie «simple»
Un autre intérêt de la stratégie de Prosper Stars & Stripes est qu’elle ne fonctionne pas comme une « boîte noire » opaque mais qu’elle se fonde au contraire sur quelques principes simples et faciles à comprendre par les investisseurs.
- Aller là où se trouvent les meilleures affaires. Tout d’abord, Christopher Hillary, le gérant du fonds depuis l’origine, a choisi de se concentrer sur le segment qui offre les meilleures opportunités, tant à la hausse qu’à la baisse, en l’occurrence les sociétés dont la capitalisation boursière est inférieure à USD 10 milliards. Comme on l’a vu plus haut, c’est là que l’on peut trouver non seulement les plus fortes progressions, mais aussi les chutes les plus importantes.
- Identifier la création ou la destruction de valeur. Une analyse fondamentale permet au gérant de trouver les entreprises qui ont les meilleures ou les pires perspectives, en fonction de leur modèle d’affaires (pouvoir de fixation de prix, position concurrentielle), de leur situation financière (marges, solidité du bilan, cash-flows) ou de leur gouvernance (qualité du management, alignement des intérêts).
Quelques exemples concrets
Pour illustrer la manière dont cette philosophie se traduit dans les faits, voici quelques exemples de sociétés actuellement présentes dans le portefeuille, long et short:
- FTAI Aviation (position Long). Cette société est devenue l’un des leaders de la maintenance de réacteurs pour l’aviation. Les problèmes rencontrés au cours des dernières années par Boeing et Airbus ont ralenti la production de nouveaux avions et donc considérablement accru le besoin en maintenance pour les appareils existants. Grâce à des prix inférieurs et des délais plus courts, la société bénéficie d’une position compétitive forte et profite de l’augmentation des prix des pièces détachées.
- Talen Energy (position Long). Ce producteur d’énergie indépendant se concentre sur la clientèle professionnelle. Détentrice d’une centrale nucléaire, la société bénéficie en plein de l’énorme demande en énergie de l’IA et a d’ailleurs signé un accord avec Amazon pour alimenter un grand data center.
- Silvaco (position Short). Ce développeur de logiciels pour la conception assistée par ordinateur souffre de la concurrence directe du leader du secteur. Récemment introduite en bourse par des banques d’affaires de second ordre, la société a vu son cours chuter en raison de prévisions trop optimistes.
Prosper Stars & Stripes : une solution efficace et confortable
En résumé, Prosper Stars & Stripes, c’est:
- Un fonds Long/Short directionnel qui permet de tirer le meilleur parti de l’opportunité actuelle qu’offrent les Small & Mid Caps américaines.
- Une stratégie défensive en actions US, moins volatile que les indices S&P500 et Russell 2000
- Un ratio de Sharpe supérieur qui améliore le profil de risque de votre poche Actions
- Un profil de risque asymétrique qui résout votre question du market timing
- Près de 15 ans de track-record aux USA et 9 ans pour le fonds UCITS.
- Un gérant basé à Denver, idéalement placé au cœur du tissu économique américain, mais aussi, loin de New York, avec un regard différent sur l’investissement.
- Une performance annualisée* proche de l’indice Russell 2000 : +8.2% vs. +8.9%, mais avec une volatilité de 10.3% contre 20.8% pour l’indice.
- Une bonne protection contre les baisses, avec un maximum drawdown* de -17.6% contre -32.2% pour le Russell 2000.
- Un classement régulièrement dans le 1er quartile dans l’univers des fonds Long Short recensés par Citywire* : 8ème pourcentile depuis le lancement et 6ème pourcentile sur 5 ans.
- Un bon moteur de diversification grâce à une corrélation limitée avec le Russell 2000 (corrélation* : 0.67) et le S&P500 (corrélation* : 0.55), du fait de son approche long short et d’un stock-picking de qualité.
* Chiffres du 7.05.2015 au 27.11.2024
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