La plupart des gens définiraient probablement la propriété résidentielle comme étant «les lieux où les gens résident». Mais cette définition ne reflète pas fidèlement les réalités de la vie moderne, où les frontières entre nos lieux de résidence, de travail et de loisir sont devenues floues.
Par Mike Bessell, Managing Director, European Investment Strategist et Kenneth Blay, Head of Research, Global Thought Leadership
En effet, au cours de nos vies, nombreux sont ceux qui vivront dans plusieurs environnements différents, qu’il s’agisse d’appartements, de logements étudiants, et à terme de résidences seniors. De plus, beaucoup d’entre nous feront l’expérience du travail hybride à un moment de leur carrière.
Comme les distinctions traditionnelles entre les différentes catégories de bâtiments s’estompent, les propriétés exigent de plus en plus d’équipements et d’installations à la fois modernes et à portée de main.
Ces considérations sont primordiales pour Invesco. Nous ne considérons pas la propriété uniquement à travers les prismes «résidentiel», «industriel», «de bureau» et commercial», au contraire, nous analysons la façon dont les individus consomment, vivent, innovent et se connectent.
Étude de cas: La montée en puissance du travail hybride
Les confinements liés à la pandémie et l’expansion du télétravail, rendu possible grâce aux innovations telles que les réunions virtuelles, ont établi une nouvelle normalité pour beaucoup d’employeurs et de salariés.
Établi à partir d’une étude menée au Royaume-Uni, le graphique ci-dessous illustre le déclin de la prévalence à travailler uniquement depuis chez soi depuis le pic de la crise, mais le gain en popularité du travail hybride.
Cette tendance a des répercussions majeures pour le secteur de l’immobilier, car ceux qui travaillent de chez eux (et qui seraient donc susceptibles de chercher des sources de loisirs à proximité) devraient pouvoir bénéficier d’un environnement dans lequel ils trouvent toutes les commodités possibles, à la fois modernes et à portée de main.
La ville du quart d’heure
Cela nous amène à l’idée de la «ville du quart d’heure», concept proposé par le scientifique franco-colombien Carlos Moreno. Selon cette idée, les quartiers devraient être conçus de façon à ce que les besoins essentiels soient accessibles dans un rayon de 15 minutes à pied ou en vélo.
C. Moreno a inventé ce concept suite à l’accord de Paris sur le changement climatique, mais il soutient que sa pertinence est d’autant plus importante dans un monde post-pandémique. «Le Covid-19 nous a permis de réconcilier la vie personnelle et les autres activités», a-t-il ajouté.
Le concept de la ville du quart d’heure est en adéquation avec la plupart des considérations clés que nous prenons en compte au sein d’Invesco Real Estate. Tout d’abord, il met l’emphase sur la durabilité et la résilience.
Et souligne que l’investissement dans les propriétés où habitent les gens, nous poussent à réfléchir de plus en plus à d’autres types de propriété qui pourraient, ou devraient, être trouvés à proximité immédiate.
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